De fines lignes.
Toutes en rondeur, elles tournent, vont et viennent selon un schéma qui leur est propre.
Défini de longue date, c’est un chemin sans queue ni tête. Il ne mène nul part et ne ressemble à aucun autre.
Il ne rime à rien, si ce n’est dire : « je suis là, je suis moi ». « Regardez, je suis passé par là. Je n’aurais pas dû. Vite, effacez moi cette trace de gras sur le cuir chaud de la voiture, cette marque dans la poussière. »
Petit nuage soulevé qui en indique le passage.
Unique mais toujours accompagné. Inséparables de ces compères. Par 10, elles baladent. Parfois moins. Souvent sensibles, quelque fois abîmées.
Elles dévoilent tous nos secrets, … sauf si nous les faisons disparaître.